Sujet: I Set Fire To The Rain ☂ K. Robyn Dawkins. Mer 27 Juil - 17:29
❥ Kathleen Robyn Dawkins
ft. Nina Dobrev.
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Robyn, 25 ans, 4 juillet 1986, Américaine, Célibataire, Hétéro, Born This Way.
✘ Comme on me l'a toujours dit, plus c’est petit, plus c’est mignon et plus c’est grand, plus c’est.. Bon vous l’avez compris. Bien que je fait 1m65, j'ai toujours eu tendance à complexer sur ma taille lorsqu’on me compare à ma mère qui est du genre taille mannequin. Comme quoi les talons font des miracles. J'ai de magnifiques yeux noisettes et de longs et beaux cheveux bruns. Mon sourire malicieux et ravageur en a conquit plus d'un. Côtés vestimentaires, je ne me complique pas la vie. La plupart du temps on me voit en robes, bon bien sûr à part lorsqu'il fait froid et puis lorsque je suis au travail parce que là j'ai plutôt tendance à porter un tailleur plutôt sobre. J'ai un tatouage au dos de mon poignet: 'Never Say Never' qui a toujours était quelque chose de significatif pour moi. En revanche pas de piercing que je trouve vulgaire suivant où il se trouve.
✘ A vrai dire je suis un bout en train plein de vie et qui aime s’amuser. D’humeur plutôt fêtarde, je n’en rate pas une. J'ai beaucoup d’amis comme d’ennemis. Je suis plutôt du genre impulsive, et ne me laisse pas faire, ni entrainer par les autres. Mon coté rebelle en déplait à certains, mais je m’en suis toujours moqué royalement. J'aime faire ce qui me plait sans me préoccuper de ceux qui désapprouvent. Je suis plutôt du genre à agir sur le coup avant de penser aux conséquences. Je suis aussi très rancunière, et lorsque quelqu’un me blesse et me fait du mal, j'ai du mal à tout pardonner d’un coup et peux me venger sur la personne. A part tous les défauts du monde que l’on pourrait me porter sur mon dos, j'ai tout de même des qualités. L’honnêteté en fait partie, ainsi que la gentillesse. Je suis une fille compréhensive et suis toujours là pour aider un ami, je ne suis pas du genre à abandonner quelqu'un lorsque tout va mal comme certains le feraient. Un petit défaut? Dés que ca ne va pas je me mets à fumer.
✘ J’ai vécu dans une famille pas vraiment aisée mais qui contrairement à certaines, connaît les vraies valeurs familiales. C’est pour dire, mes parents sont protestants et nous ont inculqués toutes leurs valeurs. Mon père tient un garage et il était du genre très stricte envers nous mais bon malgré ce côté là de sa personnalité il était le premier à nous pousser à faire des bêtises. Ma mère en revanche est une personne assez calme qui est une institutrice et ca depuis de nombreuses années. Elle est du genre mère poule et n’arrête pas d’être sur notre dos. Fille de Chrétien elle passe son temps à nous sermonner et à chaque fois que l’on faisait un faux pas, elle n’hésitait pas à nous punir et essayer de faire en sorte qu’on aille de nouveau vers le droit chemin. Mais bon, lorsqu’on a des parents comme ca, on est plutôt du genre à faire tout l’inverse de ce qu’ils souhaitent surtout en période d’adolescence. Pour le coup, j’étais et je suis encore parfois en conflit avec ma mère. Enfin bref, ma famille n’est peut-être pas des plus parfaite, mais je l’aime et ne la changerai pas.
BEHIND THE SCREEN
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COMMENT AS-TU CONNUS LE FORUM ? Não sei QUEL EST TON NIVEAU DE RP (environs) ? 30 lignes minimums. AS-TU QUELQUE CHOSE A AJOUTE ? Toujours prête pour faire un tour derrière les buissons (a) QUEL EST LE CODE DU RÈGLEMENT ? ?
EXEMPLE DE RP.
Il y a six ans après qu’il soit partie, je n’aurais jamais pu penser que je le reverrais, lui parlerais, goûterais à nouveau à ses lèvres, le toucherais.. Tout simplement parce que je mettais fait une raison, que s’il était partie comme ca je me doutais bien qu’il ne reviendrait pas de si tôt même si j’avais beau avoir eût espérer le contraire. Malgré le fait que j’ai toujours eût du mal en se qui concerne à avouer mes sentiments, montrer ce que je ressens vraiment je m’étais raisonner à prendre mon courage à deux mains et lui avouer ce que je ressentais vraiment pour lui, que ce n’était simplement plus du tout un jeu en ce qui me concernais. Je me rappelle encore mettre entrainé devant un miroir comme une idiote, et après avoir soupirer un bon coup, je m’étais rendu chez lui. Mais on ne sait jamais de quoi l’avenir est fait, et s’en était bien le cas. J’avais sonné à la porte et personne ne répondait. Je l’avais ensuite appelé, mais rien non plus. J’avais appris quelques jours plus tard par Mathias qu’il était partie, et que plus personne n’avait eût de ses nouvelles. C’est à ce moment précis que j’avais bien cru que mon monde venait de s’écrouler, et que quoi que je puisse dire ou faire, ça ne changerait pas. Je crois bien lui avoir laissé des tas de messages sur sa boite vocale comme il ne me répondait pas lorsque je l’appelais, et puis un jour j’ai finit par arrêter. J’ai fait du mieux que j’ai pu pour arrêter de penser à lui, me disant qu’il valait mieux que je passe à autre chose.
Mais malgré toutes ces années ou j’ai fait comme s’il n’avait jamais existé pour moi, le voilà qui débarque à nouveau dans ma vie, et c’est comme si toutes les résolutions que je m’étais faites c’étaient envolées. J’ai toujours était faible sur le sujet ‘Gabriel’, et ca bien que j’ai toujours essayé de le cacher. Maintenant c’était finit avec Liam, et je ne savais pas vraiment quoi envisager pour la suite sauf une chose, que je n’avais pas envie de laisser repartir Gabriel. Et s’embrassé comme on venait de le faire ne faisait tout simplement que de me le rappeler. Je l’avais déjà perdu une fois, et je ne pouvais me résoudre à le perdre une seconde fois, c’était plus fort que moi. Mais si j’avais envie que ca continue, qu’est ce que ca représenté au final ? C’est pour ca qu’avant que mon frère n’arrive et était presque à deux doigts de nous surprendre, je lui avais posé un tas de questions nous concernant. Je redoutais qu’il me réponde directement à tout ce soir parce que moi-même je ne savais pas trop quoi y répondre. Je le regardais alors ce lever, faisant quelques pas. Il devait sûrement y réfléchir je n’en savais rien, jusqu’à ce qu’il s’agenouille devant moi et qu’il me donne enfin sa réponse. J’entremêlais l’une de mes mains dans l’une des siennes, le regardant totalement surprise au fait qu’il venait carrément de m’avouer qu’il m’aimait et qu’il voulait qu’on forme un couple. Je me sentais gênée ne sachant pas quoi lui répondre que le coup. C’est vrai quoi, je venais de rompre avec mon petit-ami et à présent dans la même soirée mon ex venait me dire qu’il voulait qu’on soit ensemble et de manière officielle cette fois-ci.
Après quelques instants je finis par sortir difficilement « Je..wouha.. hum.. tu veux bien m’excuser ?.. ». Je passais ma main dans mes cheveux mal à l’aise puis me leva d’un seul coup et sortie de la chambre fermant la porte derrière moi. Je soufflais un bon coup laissant se glisser un léger sourire sur mes lèvres repensant à ses mots, puis redevint neutre, ouvrant la porte et m’avançant vers lui. « Tu.. tu m’aimes et tu veux qu’on soit vraiment ensemble j’ai pas rêvé te l’entendre dire n’est-ce-pas ?.. ». Je le regardais puis repris « Non, non, non. ». Je me retournais et ferma une nouvelle fois la porte, et la rouvrit quelques secondes plus tard. « Non, mais je veux dire t’es sûr de tout ca, par rapport à nous ? Ca va faire six ans que je me résous à ne plus ressentir ce que je ressentais pour toi à l’époque et maintenant tu es là et tu me dis tout ca.. tout ce que j’avais envie de te dire et entendre en retour il y a des années, et maintenant tout est confus e.. et.. et tu m’énerves ! ». Je claquais cette fois-ci la porte. Un léger et court silence ce fit avant que je n’ouvre la porte une troisième fois et que je ne me jette dans ses bras, entourant sa taille par mes jambes et accrochant mes bras autour de son cou avant de l’embrasser passionnément. Je n’avais pas envie que ce baiser s’arrête, pas du tout même. Je profitais de ce moment qui était devenu si précieux au fil du temps. Mais je me résolus à détacher mes lèvres des siennes et posa mon front contre le sien, le regardant à présent dans les yeux. « Elle ne dit pas ‘je t’aime’ comme une personne normale. A la place, elle commence à rire, secoue la tête, te fais un petit sourire et dit ‘tu n’es qu’un idiot’. Si un jour elle te dit que tu es un idiot, tu seras un homme chanceux. ». Je l’embrassais une nouvelle fois mais avec plus de tendresse avant de lui glisser « Tu n’es qu’un idiot. ». Je le regardais avec un léger sourire, puis ré captura les ses lèvres.
Dernière édition par K. Robyn Dawkins le Ven 30 Sep - 13:29, édité 15 fois
Sujet: Re: I Set Fire To The Rain ☂ K. Robyn Dawkins. Ven 29 Juil - 11:05
..oh baby i love your way..
« L'enfance a des manières de voir, de penser, de sentir qui lui sont propres. »
Contrairement à certains je ne suis pas née dans une famille de bourge, –Dieu merci- ni dans une famille pauvre. Non, je viens d’une famille modeste peut être un peu conservatrice, mais je n’aurais rien changé pour tout l’or du monde si cela m'avait été possible. Alors que tout le monde s’amusait dans les rues pour la fête nationale du quatre juillet, ma mère, elle ne s’amusait pas du tout, bien au contraire. La pauvre mit des heures et des heures avant que je ne vienne au monde, à croire que je voulais rester dans ma petite bulle. Comme le veut la tradition mon père coupa le cordon et c’est ainsi que je fis mon entrée. Pensant au départ que j’étais un garçon ils comptaient m’appeler Robin en rapport au frère de mon père mort jeune. D’ailleurs ma mère me rappelle encore que ca leurs avaient fait un sacré choque lorsque j’étais sortie, mais pas pour autant déçus. Ils décidèrent de m’appeler Kathleen avec pour deuxième prénom Robyn. Mais ils auraient mieux fait de m’appeler par ce dernier tout simplement car tout le monde ne m’appelle que par celui-ci à part ceux qui ne me connaissent pas. D’ailleurs quand on demande qui est Kathleen, pratiquement personne ne le sait. Enfin bref, malgré que mes parents ne soient pas les personnes les plus hauts placés dans la ville, notre niveau de vie était plutôt convenable si bien qu’après quelques années on déménagea dans un quartier assez bien réputé. Certaines personnes d’ailleurs en nous voyant arriver, n’acceptèrent pas que ‘le petit peuple’ débarque chez eux, car ce n’était pas bien vu. Mais mes parents s’en fichaient complètement, si bien qu’ils ignorèrent les menaces du voisin Chambers. Ranh qu’est ce qu’il était odieux celui-là.. Une fois il en était même venu à me faire des menaces parce que j’étais amie avec son fils, réussissant à me mettre en pleure. « Je déteste ton papa ! » « Moi aussi tu sais.. Il peut être gentil parfois mais bon. » « Tu sais qu’il m’a interdit de te voir ?! » « Ouais c’est parce que tu es une nuisance pour moi selon lui.. » « Une nuisance ? » « Je ne sais pas ce que ca veut dire, mais il le dit sans arrêt. C’est parce que tes parents sont des pauvres, et donc toi aussi.. Il dit aussi que tu ne m’apporterais rien de bien. » Ca fait toujours plaisir d’entendre ca quand on a six ans n’est-ce pas ? Enfin ce n’est pas parce que le père d’Emrys lui disait ca que l’on arrêté de se voir. Je venais souvent chez lui et vis-versa. Contrairement à moi, il était le bienvenue et bien accueillit par mes parents qui l’appréciaient beaucoup. La mère de mon meilleur ami m’aimait bien tout de même à l’inverse de son mari, disant qu’il ne fallait pas que je prête attention à celui-ci. Alors je venais en cachette par la porte extérieure de la chambre d’Emrys tous les soirs et cela pendant des années. Au départ je ne comprenais pas vraiment pourquoi les gens réagissaient comme ca avec nous, et comme on le sait si l’un commence, le troupeau le suit. Mes parents ont vraiment eut du cran pour rester jusqu’au bout, jusqu’à ce que le quartier arrête de les montrer du doigt, se lassant de toutes ses bêtises.
Souvent, on a la chance d’être bien entouré et ce fut mon cas. Ma mère depuis son plus jeune âge avait deux meilleures amies sur qui elle a toujours pu compter au fil des années. Elles ont toujours tout fait ensemble et de même pour ce qui concerna leurs enfants. Les trois femmes nous eurent plus ou moins en même temps pour que l’on grandisse ensemble comme elles. Cela ce jouait donc entre Iris, Joyce, Brooklyn et moi. On était les quatre, les plus soudées, inséparables. Et un matin à l’âge de dix ans, Joyce se retrouva avec sa sœur jumelle, une valise à la main dans le hall de ma maison. Leur mère venait de partir, les laissant donc à la mienne. Pour ma part j’étais contente parce qu’elle vivrait avec moi et nos liens seraient ainsi encore plus fort. Mais bon je me rendis vite compte que c’était égoïste de ma part étant donné que de son côté ma meilleure amie souffrait de l’absence de sa mère. J’essayais alors simplement de lui redonner le sourire n’aimant pas la voir ainsi, et ca même si ca pouvait énerver sa sœur. On grandit ensemble car leur mère ne revint pas et puis il y avait également les sœurs Fuller qui étaient à nos côtés. Lorsque l'on était toutes les quatre, on était par paire c'est à dire Iris et moi et puis Joyce et Brooklyn. Allée savoir pourquoi, mais ca marché comme ca, sûrement à cause de nos âges respectifs.
« Un beau soir l'avenir s'appelle le passé. C'est alors qu'on se tourne et qu'on voit sa jeunesse. »
La période de l’adolescence et celle qui m’a surement le plus marquée. En effet, il y avait des hauts et des bas tel un vrai yoyo et ma petite vie à Miami n’était jamais stable. Le point positif c’est que durant toutes ces années je n’ai jamais perdu mes vrais amis comme Emrys ou encore mon fameux quatuor. En revanche, ca ne fut pas le cas pour d’autres. Pour commencer je me suis éloigné de ma mère. Nous étions tout le temps en conflit et vivre dans la même maison qu’elle était devenue un véritable cauchemar pour toutes les deux. Il fallait tout le temps qu’elle me fasse le moindre reproche et ca je n’en pouvais plus. La seconde personne que j’ai perdue ? Probablement Julian. Depuis petits on se faisait la guerre et au fil des années j’en étais tombée amoureuse. Stupide non ? Et cet abruti m’a brisé le cœur en m’invitant au bal de promo du lycée pour au final ne pas venir me chercher et danser avec une autre. Depuis ce jour-là je n’ai plus voulu lui adresser la parole et bien qu’il ait tenté de faire des approches il n’y avait rien en retour. Je m’étais complètement braquée face à lui, tel un bloc de glace. En adoptant cette attitude je me suis fais pas mal d’ennemis et je m’en contre fiché. Sérieusement, si personne n’aimait ma personnalité et bien qu’il passe son chemin. C’est en partie après cette fameuse soirée que j’étais devenu comme ca. Je jouais avec tout le monde, ne me préoccupant que de ma petite personne sans le moindre remord.
« T’as finis oui ?! Ce que tu peux être chiant quand tu t’y mets ! » « Je dis juste la vérité Kath et si t’es pas contente c’est pareil ! » « Je n’ai juste pas envie d’entendre ce genre de réflexion, tu sais très bien comment elle est avec moi et toi tu l’as défend ! » « On dirait une gamine de cinq ans je te jure c’est impressionnant ! C’est ta mère et on a fait quoi ? Juste parlé d’avenir je vois pas en quoi c’est dérangeant. » « Si ca l’est pour moi ! Tu sais que je déteste prévoir les choses à l’avance et là c’était limite si vous n’alliez pas parler de mariage, de bébés et j’en passe. » « Et en quoi c’est mal ? Bon sang ce n’est pas comme si tu ne t’attendais pas à ce que je veuille passer le reste de ma vie avec toi, tu le sais très bien ! » « Oui mais même le fait d’en parler ca va trop vite ! Je veux dire on est à l’université, on a le temps et tu sais que pour l’instant c’est ma carrière qui passe en priorité. » « Je n’ai jamais dit le contraire on a le temps, mais on a le droit d’en parler aussi. » « Ouais sans doute.. » « Tête de mule va. » On ne peut pas dire que ma relation avec Andrew était des plus plate et parfaite, bien au contraire. Mais pendant plus d’un an notre relation marcha ainsi. On s’était connu à l’université, étant tous les deux dans les mêmes cours. Il voulait être avocat comme moi et aimant la compétition on dû s’affronter à de nombreuses reprises. J’en étais vraiment amoureuse, il m’avait redonné le sourire et puis j’étais devenue moins colérique et susceptible. Il voyait toujours tout en grand, faisait des projets, alors que ce n’était pas du tout mon cas. On allée emménager ensemble, mais le destin en avait décidé autrement..
Il arrive que le moindre coup de téléphone change vos plans, que tout sombre d’un coup, et c’est ce qu’il se passa pour moi. Le soir même où je le reçus je ne réalisais pas vraiment qu’on l’avait retrouvé mort, que quelqu’un eu la cruauté de le tuer, de le retirer à sa famille, de me le prendre. C’est lorsque je vis son corps froid que je compris que je ne lui reparlerais plus, n’irais plus dans ses bras, qu’il s’était tout simplement éteint. Pendant plusieurs semaines je ne sortais plus de chez moi, je ne parlais plus à personne et ne prenait même pas la peine d’aller en cours. Mais je finis par réaliser que la vie continuer et que rester ainsi n’allée rien m’apporter de bon. Je remis alors le pied dehors, faisant comme si la vie était belle et que tout allée parfaitement bien pour moi. Je me cachais une fois de plus derrière un masque alors que je m’étais promis de ne plus le faire lorsque j’étais avec Andrew. Je recommençais à être cette reine des glaces que la plupart ne pouvaient pas se voir, mais je m’en moquée. Ma priorité était de réussir et avoir mon diplôme, ce qui fut le cas. Côté coeur, j’enchainais les hommes, ne voulant pas me faire avoir encore une fois.
« La seule chose dont on soit sûr, en ce qui concerne l'avenir, c'est qu'il n'est jamais conforme à nos prévisions. »
Bien que l’université soit terminée, je vivais toujours en appartement avec Iris et Lucas. Et puis avec mon diplôme en poche, je ne mis pas bien longtemps avant de trouver du travail. Ça ne fut pas par piston loin de là, et puis même si je l’aurais voulu ca n’aurait pas pu se faire. Après quelques entretiens, je fus engagée dans l’un des plus prestigieux cabinets d’avocat de tout Miami. Bon pour l’instant je ne suis qu’une simple assistante mais je compte bien changer tout ca. Je devrais aimer mon travail même si pour l’instant je ne suis qu’en bas de l’échelle, mais non je ne l’apprécie pas. Du moins j’aurais aimée être l’assistante d’une autre personne que Julian. Au départ c’était vraiment la guerre entre nous et puis vint un moment où tout changea. On passe toutes nos nuits ensemble essayant de se faire le plus discret possible. Et puis lorsque nous sommes au travail devant les autres la guerre fait semblant de reprendre. Je ne sais pas exactement ou nous en sommes, parce que pour l’instant notre histoire n’est pas du tout officielle et je ne sais pas si elle le sera un jour.
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