❥ jayden collin chambers

ft. alex pettyfer

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jayden(JAY'), 22ans, 24 février 1989, nationalité, célibataire, hétéro., the edge of glory. Faites maintenant trois court paragraphe de 5lignes. -Le premier pour décrire votre personnage physiquement, comment il s'habille etc... -Le deuxième, pour décrire son caractère, comment il se comporte avec les autres. -Le troisième, pour situer son rang social, ainsi que sa complicité ou non avec sa famille. [voir même plus]

..oh baby i love your way..

On ne naît pas tous dans une famille des plus aisées, surtout habitant dans les quartiers huppés de Miami. Faut le dire, à ma naissance j’ai bien été gâté. La seule chose qui nous a différencié moi et mon frère des autres riches, c’est qu’on a grandit dans un univers complètement parallèles. « Tu vas où comme ça ? » je cherche ma veste sur le porte manteau, sans vraiment entendre mon père hurler. Puis le pousse légèrement pour prendre mon portable posé sur la table de cuisine. Au contact de sa main se posant sur mon épaule pour me retourner, je roule les yeux et me redresse « Quoi ? Je peu pas sortir ? » il ose me regardé un sourire en coin. Je secoue la tête et me mords les dents. « Non tu peux pas sortir. Tu pourrais aider ta mère à faire la cuisine, ou alors aller faire un peu de boxe. T’as réviser au moins ? Parce que… je te connais bien Jayden. Tu dis toujours quelque chose, mais tu passes jamais véritablement à l’action. » je ris nerveusement avant de le pousser pour passer. J’ouvre la porte pour sortir et il me rattrape par le bras. « Fais bien attention à ce que tu fais, tu m’entends. » je le regarde d’un regard noir, secoue mon bras en un seul mouvement pour qu’il le lâche et m’en vais de chez moi. Il n’y avait pas un moment où j’adorais mon père, où j’avais envie de passer du temps avec lui. Tout était contraire. Ma mère était elle, le rayon de soleil de la maison. Elle nous illuminait, nous disait quoi faire. Tout allait toujours mieux quand elle était là pour calmer le jeu.

« Haa, putain. Jay lâches ! » je la regarde amusé, et tire sur le coussin. L’attirant en même temps sur moi. Je la bloque avec mes jambes en évitant de trop lui faire mal, puis profite de l’occasion pour lui donner des coups de coussins maintenant qu’elle est désarmée. « Sinon quoi ? Tu vas m’bouffé ? Bouffes moi, tu me connais, j’attends que ça. » dis-je avant de pouffé de rire en la voyant essayé de me mordre. Je lui chope les mains après avoir lâcher le coussin et la bascule en arrière lui bloquant les poignés. « Maintenant, c’est moi qui vais pouvoir te mordre. ». Je passe au chatouille sur son ventre, sachant qu’elle n’aime pas ça, j’ajoute les pincement sur les hanches. Elle sursaute, se débat, ce qui est assez beau à voir. « JAY PUTAIN, casses toi. » je m’enlève en la regardant, puis attrape mon paquet de clopes pour m’en allumer une.  « Allez, dis-moi que tu m’aimes. » elle regarde son portable, et me regarde. Dépose un baiser sur ma joue droite. « Je file, il m’attend à l’autre bout de la rue. » je m’étale dans le canapé, la regarde se levé et soupire ne me privant pas d’exprimer mes ressentit. « à l’autre bout de la rue en plus ? Tss… tu parles. » à peine si je pouvais répondre qu’elle avait déjà filer. Liz était là depuis à peine dix minutes qu’elle était déjà repartie. Plus ça allait et plus je commençais à en vouloir à son nouveau petit ami de provoquer autant de distance entre moi et elle. Je la regarde sortir de chez moi par la fenêtre de ma chambre, et secoue la tête.
Il ne m’a pas fallut longtemps pour brisé leur couple. Non. J’ai gagné. Ou du moins, presque. Liz m’a expliquer qu’elle ne me supportait plus, et c’est pourquoi on a cesser de se parler durant un certain temps. Ça n’a pas toujours été facile tout les jours, mais je m’y suis fait à la longue. C’est dans une boite de nuit que je l’ai retrouvé, elle était un peu bourrée, mais assez consciente pour finir dans mes bras en me disant que je lui avais manquer. J’ai été assez retourner de la voir, je n’aurais jamais crus un jour ressentir ça pour une fille, ou du moins pour elle… des sentiments dont je ne me serais jamais douter ont montrer le bout de leur nez.

Le téléphone sonne, alors que j’étais au travail. Et j’apprends le décès subit de mon père. Je ne sais pas comment réagir. La seule chose que j’ai fait, c’est raccroché. Cinq minutes après j’ai enfiler ma veste et avant de partir du taff j’ai prévenu mon patron de la situation. Arrivé à l’hôpital ma mère m’explique qu’il a fait un arrêt cardiaque, et qu’ils n’ont pas pus le sauver. Sur le coup je n’ai rien ressentit, je ne savais pas quoi dire, quoi faire. Je ne savais pas si je devais sauter au plafond en éclatant de rire. Ou bien s’il fallait que je pleure, me sentant con. Ouais con. J’avais toujours détester mon père. Quelques jours ont suivis, et moi et mon frère avons reçu une lettre qui nous était destiné à tout les deux écrit par notre père. Elle a été un choc pour nous. C’est en la lisant qu’on a compris que notre père nous aimait. Et cela, pour la première fois de notre vie. Cela m’a beaucoup fait réfléchir, et j’en ai discuter avec Liz. Ayant comme passion, la boxe. Je me suis promis que je le rendrais fière, au moins une fois en m’y inscrivant. Je savais que là haut il me soulèverait son chapeau. Parce qu’il avait toujours voulu cela. Une fois inscrit là bas, je me suis lancé pour ne plus m’arrêter. Chaque combat me rappelait lui. Et même si la vie n’a jamais été facile à ses cotés, aujourd’hui je ressens comme un manque, et un besoin de lui.

« regardes moi bien, tu vois ce qu’il y a écrit sur mon front, tu le vois ? » mes yeux dans les siens, une main derrière son cou, et l’autre l’étranglant presque il avait été trop loin. J’ai toujours dit qu’il ne fallait pas s’en prendre à ceux que j’aime. Et même si c’était rien, il ne s’en sortirait pas comme ça. « Je suis un connard. C’est pas assez voyant ? » je l’expulse par terre, et le regarde de haut. « J’te préviens, tu l’approches encore une fois, et t’es un homme mort. » je sens les mains douces de Liz se poser sur mes bras, je les regardes et me retourne l’embarquant avec moi. Elle le regardait en partant, toujours allongé sur le sol à souffrir, tant dis que moi je serrais les poingts. Il avait abusé de ma patiente, et ça je ne l’acceptait pas. Je suis pas une personne très patiente cela dit. En tout les cas, il ne l’approcherait pas et c’était pas plus mal.

Je cherche Morgan du regard, et une fois dans mon champs de vision, j’avance vers lui une démarche un peu fière. « regardes moi ça… si c’est pas le pieds ça ? » dis-je ne souriant lui montrant toute les belles nanas qui étaient autour de la piscine. « Ce soir, fais toi plaisir mon frère. » je le regarde un grand sourire aux lèvres puis l’entraîne avec moi pour que l’on s’installe sur un canapé ensemble. Le temps passe, et je me fais entraîner par une bande de pote plus loin. C’était pas dans n’importe quel direction qu’ils m’entraînaient, mais celui de la drogue. La cocaïne était apparemment au rendez-vous, à ma soirée pour mes vingt ans, et sans même que je ne le sache. Assez sur mes gardes ne connaissant pas les effets de cette drogue, je m’assieds quand même près de la table les regardant me faire un raille. J’attends un peu, puis me lance dedans. Je me redresse et aperçois Morgan plus loin, je sens que ça va chauffé et me lève faisant signe aux gars. « Allez, c’est mon anniv’ on va pas se prendre la tête. » lui dis-je doucement avant de sortir de la salle. Le problème c’est que cela c’est plusieurs fois reproduit, et Morgan étant mon meilleur ami, et comme mon frère me protège, et m’aide à avancé dans la vie. Il n’est pas pour se genre de drogue dur, qui ont des effets seconds. On s’est plusieurs fois pris de tête lui et moi à cause de ça ou alors à cause de mes conneries. Le problème c’est que nous sommes différents lui et moi, mais complémentaire.

BEHIND THE SCREEN

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par ici, si t'es si curieux (a)

COMMENT AS-TU CONNUS LE FORUM ? Je sais pas.. par hasard, tiens !
QUEL EST TON NIVEAU DE RP (environs) ? 30lignes minimums.
AS-TU QUELQUE CHOSE A AJOUTE ? NOP.
QUEL EST LE CODE DU REGLEMENT ? ? T'as rêvé.

EXEMPLE DE RP.

Après lui avoir expliquer l'histoire de la voiture, Andrew me dit « T'a pas intérêt à reprendre la voiture quand il neige comme ça ! Su t'a besoin d'un chauffeur, appelle moi, enfin appelle qui tu veux mais tu conduits pas ! » d'un ton inquiet, et protecteur. Je lui ai souris, contente d'avoir en face de moi le Andrew que je connais depuis des lustres. C'est vrai que lui et moi nous connaissons depuis très petit, et d'ailleurs nous avons souvent été ensemble. Mais peut-être bien plus à cette époque, plutôt que très jeune. Et peut-être même, étions nous trop proche. En tout les cas, je savais que je pouvais compter sur lui, et lui sur moi. Alors, ça me faisait vraiment plaisir de le voir à mes cotés, comprenant que ça n'allait pas plus que ça, il avait décidé de rester avec moi pour cette heure-ci, plutôt que d'aller en cours. Après m'être laisser glisser contre un mur, j'éteignis mon portable instantanément après qu'il n'ait prit le temps de vibré une seconde fois. Je savais qui c'était, et à ce moment même je n'avais pas envie de répondre, de plus, en général, quand je suis avec Andrew j'évite de répondre à Morgan, alors ce n'est pas pour changer cette fâcheuse habitude. Et pourtant, je le devrais. M'enfin, je finis par ne pas en dire plus à Andrew, c'est à dire, ne pas lui raconter d'où j'en suis avec Morgan, et tout le blabla, parce que bon, je sais plus ou moins qu'il n’apprécie pas, et ça même s'il ne me le dit pas, je ne suis aussi bête que j'en ai l'air, pour ne pas le comprendre, bien au contraire. Alors quand je peu éviter d'aborder le sujet « Morgan », je l'évite.

Après un long moment de silence, entre moi et Andrew, je finis par trouver un sujet, qui allait nous faire converser. Parlant de son exposer. Oui, c'est assez bizarre dis comme ça, mais on travaille beaucoup tout les deux, puis bon on aime passer du temps tout les deux, alors quand on peut s'aider on le fait. Apparemment j'avais bien fait de lui demander ce qu'il en était à propos de son exposé actuel, parce qu'il voulait justement m'en parler. M'en parler, ou du moins.. Me montrer ce qu'il en était. « ça tombe bien que tu parles de ça, j'avais deux trois trucs à te montrer et une feuille à te rendre. », je lui souris, le voyant poser son sac pour sortir toute les feuilles, dont une qui m'était déstinée. Je l'ai prise, pour la mettre à mon tour dans mon sac, puis j'ai relever le visage vers Andrew, « C'est du bla bla pour le moment, faut que je mette tout en page, au propre. » , j'ai ris légèrement, puis j'ai regarder ce qu'il avait fait, ce qu'il avait fait seul, et aussi ce qu'il avait fait avec moi. Ce que cela donnait au final. Et à dire vrai, j'étais assez surprise que cela soit aussi bien. Je n'aurais jamais crus que ça finirait comme ça. Enfin, de ce qu'il en a ajouté etc, c'était vraiment bien. Ça aurait valut un A+ , j'en suis certaine, et pourtant il n'a eut qu'un B, mais bon, disons que pour lui c'était un bon résultat, ce qui est vrai. Parce que la langue n'est pas trop son truc. « Je trouve ça vraiment super.. », de quoi est-ce que cela parlait ? Et bien des sentiments, de chaque sentiments éprouvé à n'importe quel situation, etc. Et je dois l'avouer, « L'amour malgré ses caprices, laisse donc la chance a tout le monde de trouver l'âme sœur. C'est donc en effet l'amour qui dicte ses règles, c'est lui qui ,en quelques sortes, nous contrôle car il sélectionne le conjoint selon des critères que la raison elle-même ne peut pas expliquer.
Ensuite, on est enchaîné par l'amour car il nous fait éprouver des émotions fortes telles que la joie, le bonheur mais aussi des sentiments durs comme la jalousie, la tristesse, etc …
En ce sens, il nous contrôle car ce sont effectivement des sentiments que l'on ne peut pas refouler. On aura beau tout faire pour échapper à ceux-ci, ils nous sont impossibles à gérer. Ils sont plus fort que la raison. » , c'est un passage de ce qu'il a écrit , et je dois dire qu'il en a bien rajouté, que ça à l'air d'en sortir de lui, de son coeur, de ce qu'il ressent. Et quand j'ai commencer à lire se passage, je ne l'entendais même plus parler. J'avais le coeur qui battait à cent à l'heure, et je mes lèvres vibraient par ma lecture silencieuse. Je finis par un point, et redressa le visage, pour y voir le sien, et me perdu dans son regard qui me demandait si c'était bien, s'il y avait des choses ou non à changer. Je me suis vite débloquée, remontant à la surface, terminus, tout le monde descend ! Oui, oui. Et me suis mise à secouer doucement le visage de haut en bas. « Oui, oui. C'est super. T'en fais pas ! Avec ça si tu n'as pas un A+ .. C'est vraiment que la prof ne t'aime pas. » lui ai-je ajouté avec un sourire. Je finis par lui dire de prendre son exposé dans les mains et de faire un sourire, sortant mon appareil photo « Aller, fais un sourire, c'est le voix de la réussite qui te sourit ! » avais-je dit en riant. Une photo que j'ai toujours dans ma fameuse boite à souvenir d'ailleurs. « Bon et bien, je crois que plus ça va et moins tu as besoin de moi. Peut-être faudrait-il que je te laisse te débrouiller seul, en ce qui concerne la littérature. ». Je pensais pas ce que je disais, et pourtant je l'avais dit, parce que j'étais perdu avec moi-même, et que je ne savais pas trop comment m'y prendre, que cela soit avec Andrew comme avec Morgan. Et j'en inversait les rôles, étant trop proche avec Andrew, et repoussant Morgan. D'ailleurs quand je lui ai dit, il a fait une tête assez hilare à voir je dois dire, c'est pourquoi je me suis mise à rire « Ah, ça t'embêterait tant que ça ? » avais-je dis en souriant, me mangeant les lèvres. [/justify]