Debout dès six heures, j'étais d'assez bonne humeur aujourd'hui chose qui était rare ces temps ci, je ne dormais pourtant pas bien j'avais plus l'habitude de dormir seul moi. M'étirant comme à mon habitude j'étais passé par la chambre de mon frère juste pour dire de l'emmerdé faut dire que depuis notre dispute au sujet de Robyn rien ne va plus entre nous. Je claquais sa porte bien fort pour le réveillé, j'en avais rien à faire, quand on me cherche on me trouve ça c'est certain et il a beau être mon frère ça ne change rien. Après un café bien corsé et quelques tartines avalés j'attrapais mon ordinateur portable ainsi que plusieurs dossier, j'avais une réunion dès le matin a 8h pour un briefing, on devait choisir les photos du prochain numéro ainsi que les meilleurs articles a faire paraître. J'avais un boulot monstre étant donné qu'après ma rupture avec Aria j'étais partit plusieurs jours sans prévenir personne, j'avais donc du travail en retard que j'avais déjà bien rattrapé en même temps je n'ais plus que ça à faire. C'est bien la première fois que je me noie dans le travail pour évité de penser a une fille. Je pris la direction du bureau dans ma Citroën coupé sport, superbe voiture que j'avais acquéri quelques semaines auparavant, que voulez vous quand on a de l'argent on aime se faire plaisir. Faisant ronronné le moteur un moment je la sortie du garage et me mit en route pour le travail, la musique a fond dans la voiture. J'avais beau m'obstiné a ne pas pensé a elle, je ne pouvais pas m'en empêché en faite ce qui me faisait peur c'est d'apprendre a tout moment qu'elle est avec un autre, je crois que cela me rendrait carrément dingue.

Une fois devant le bâtiment j'entrains au sous sol, me garant a ma place personnel, j'attrapais toute mes affaires et montait les quelques marches qui me séparaient de l’ascenseur. C'était plus difficile les journées maintenant, avant je me disais allez motive toi ce soir tu la retrouve mais maintenant tout ce qui me motive c'est de dormir. Une fois la porte d’ascenseur ouverte mon assistance m’interpella tout de suite : " Bonjour Mr Evingham, Mr Rooswell et Mme Kingers sont déjà la ils vous attendent dans votre bureau, votre réunion a était également repoussé d'un quart d'heure, voici votre courrier, dois-je vous préparez un café ? " J'admirais son énergie dès le matin je lui souris et dit : " Merci Jenna, oui apporté moi un café bien noir s'il vous plais ." elle me répondit " bien monsieur je vous apporte ça. " Prenant la direction de mon bureau je soufflais un coup, les personnes présentent à l'intérieur était des représentant directement lié au département des finances autant dire que ce sont des gens avec qui il faut savoir user de son charme. Je savais être un beau parleur depuis tout petit alors pour moi c'était toujours un jeu d'enfant. Ma journée se passa rapidement, après ma réunion et toute la mise en place du nouveau numéro j'étais aller manger un bout avec certain de mes collègues, j'ai beau être leur patron j'ai un bon lien avec la plus part des personnes qui travail pour moi mais ça c'est parce que je suis de bonne humeur sinon je peux être le pire des connards avec eux. Faut pas oublié que je suis un Evingham.

Après avoir bosser un peu au bureau, je me décidais a rentré chez moi, tout le monde ici savait ce qu'il avait à faire et ils étaient tous assez compétents pour le faire sans venir me demander mon avis toute les deux minutes. Il faut dire que les meilleurs travaillent avec moi. Je rentrais donc tranquillement chez moi seulement il fallait que j'arrête de bossé j'avais trop peur de devenir un vrai accro au travail. C'est pourquoi une fois à l’intérieur j'enfilais un short et je plongeais dans ma piscine d'intérieur, nageant ensuite tranquillement je ne cessais de faire des longueur c'est pourquoi je n'entendis pas la porte s'ouvrir ni quelqu'un entré. Ce n'est qu'après une bonne heure en tout de nage que je me décidais a sortir me séchant rapidement je pris la direction de ma chambre, toujours habillé d'un simple short, je fis un bon quand j'entendis quelqu'un prononçait mon prénom heureusement pour moi personne ne l'avait vu. Passant le pas de ma porte je vis Aria qui ramassait ses affaires, je dois dire que la voir faire ça ça me faisait quelque chose quand même. Je l'aimais tellement, c'était douloureux de la voir mais de ne pas la prendre dans mes bras et l'embrasser c'était encore bien pire. C'est la première fois que je la revoit depuis notre dispute, je m'appuyais contre le contour de la porte croisant les bras je l'observais avant de dire : Bonjour Aria .. " Je savais pas quoi lui dire, ni ce que je devais lui demander, je lui en avait vraiment voulut le soir ou elle m'avait giflé, ma colère c'était dissipé au fils du temps laissant place au manque et a la tristesse.

J'étais la planté sur le pas de ma porte de chambre,bras croisant laissant mon regard se posé sur ma fiancé, enfin ex fiancé maintenant, j'avais beau me le répété j'arrivais pas a l'admettre. Aria avait été la seule avec qui j'ai sacrifié ma liberté et maintenant que je suis libre je m'accroche a mes chaines pour ne pas l'oublier. Si quelqu'un m'avait raconté ça sur lui je lui aurait qu'il était un crétin ringard qui devait se changer les idées en s'envoyant d'autre femme seulement la c'était moi qui était dans cette situation. Elle me dit alors qu'elle avait presque finie qu'elle reviendrait pour le reste, je ne relevait pas la regardant toujours enfourné ses affaires dans son sac. J'aurais voulut lui criait tout mon amour, lui montré a quel point je suis toujours autant amoureux d'elle, seulement la fierté des Evingham m'en empêché, je ne m'étais jamais rabaissé devant une femme et je pense que je ne le ferait jamais. Me lançant un regard elle m'agressa m'expliquant que c’est moi qui lui avait demander de partir et que c’est exactement ce qu'elle faisait. Je serrais les mâchoires, avant de répondre : " Je te signale que le contexte était tout autre, tu m'as giflé merde Aria ! " Voilà que je me remet en colère, passa ma main dans mes cheveux je fermais les yeux pour me calmais, je le faisait souvent lors de nos disputes, respirant profondément, j'essayais de toute mes forces de penser a autre chose.

La regardant de nouveau je vis qu'elle ne faisait plus de geste, elle s'amusait avec une mèche de ses cheveux geste que je connais très bien elle devait pensé a autre chose c'est la que je me mit a psychoté sur un éventuel nouvel amant. Je me posais cependant des questions, j'allais empiré la situation si je lui lâchais ça seulement elle joua la même carte avant moi. Me demandant carrément ou était celle qui me servait de passe temps ! Je lâchais d'un coup : " Pardon ?! " Elle prit la direction de la salle de bain et je l'y suivit, me postant a la porte bien droit, je la regardait et lui dit : " Qu'est ce qui te fait croire ça ? J'ai pas été assez fidèle pendant notre relation ? Tu crois que je peux t'oubliais comme ça ? C'est peu être le cas pour toi mais pas pour moi ! " J'attrapais a la volée le tee shirt qu'elle m'envoyait, l'enfilant je retournais dans le couloir fermant la porte derrière moi. J'étais énervé et légèrement blessé par ces propos, je ne suit plus ce genre de type même si parfois je le voudrais car en ce temps la j'avais pas a souffrir a cause d'une fille, en ce temps la je passais a autre chose en oubliant même le nom de toute mes conquêtes seulement la c'était bien différent. Je me laissais glissé le long du mur a coté de la porte de ma chambre, posant mes coudes sur mes genoux je posais ma tête dans mes mains.

Je ne savais pas quoi faire, absolument pas quoi faire, j'ai tellement besoin d'elle je ne l'ai jamais nié même pendant nos disputes. A part resté la comme un con, j'avais envie de retourné dans la chambre et la prendre contre moi seulement j'avais bien trop peur pour mon amour propre. Cependant je pouvais pas resté les bras croisé, frappant a la porte j'entrais doucement et dit : " Aria, on pourrait discuté tranquillement s'il te plais ? Sans critiques, remarques et psychose. " J'étais sérieux et sincère c'était même très inhabituel d'habitude je fonce je ne parle pas mais les circonstances actuelles me changer intégralement. Je restais la devant la porta à attendre sa réponse.

Je ne pensais vraiment pas que nos retrouvailles se passeraient comme ça, je savais pourtant bien qu'elle aller un jour venir chercher ses affaires seulement je ne pensais pas que ca se passerait aussi rapidement. Depuis le début de la discutions elle me blessé par ses parole presque qu'autant qu'avec la gifle que j'avais reçu. Elle me lança une remarque concernant la gifle j'avais immédiatement répliqué : " Elle ne voulait pas dire la même chose ! " Elle s'excusa rapidement de ce qu'elle venait de me dire seulement c'était difficile, c'était la première fois depuis le début que je la voyais sincère au moins elle m'avait pas lancé de pique dans sa réplique ! Elle m'avait ensuite parlé d'une fille que je devais soit disant m'envoyé en l'air pour passer a autre chose cette fois ci c'était trop, ses paroles dépassé les bornes, j'étais vraiment énervé mais plus que tout profondément déçu, elle parvenait a me faire un mal de chien comme aucune femme n'avait pu le faire avec moi. Je lui répondit : " Oui c'est moi qui est prit la décision, je suis un Evingham je te rappel ! J'ai peu être une énorme fierté mais sur ce coup j'ai rien a me reproché moi, ta dépassé les bornes en levant la main sur moi. Et non je n'ais pas envie de me tapé toute les salopes qui passent ! " Elle continua sur le même sujet me disant cette fois si que je pouvais essayé de l'oublié dans les bras d'une autre. La regardant droit dans les yeux, mon regard était un mélange entre colère, tristesse, déception je finis par lui dire : " Et si j'ai simplement pas envie de t'oublié ? de passé a autre chose ? "

J'étais tellement sous le coup de la colère que j'étais sortit de ma propre chambre fermant la porte derrière moi, je m'étais assit contre le mur, je savais plus quoi faire. J'avais l'impression qu'elle ne voulait plus du tout me voir, ses paroles raisonné dans ma tête comme une chanson qu'on arrive pas a se retiré de la tête. Au bout d'un petit moment j'avais frappé a la porte et était entré, je suis quelqu'un qui n'abandonne pas aussi facilement, je lui demandais si on pouvait discuté tranquillement. Sa réponse me fit dressé les cheveux sur la tête, je déteste quand elle me parle comme ça, personne n'a jamais levé la voix sur moi et elle commencé, je lui dit : " Dèja tu vas te calmais okay, moi je veux juste parlé si t'es pas capable de garder ton calme je sors de cette chambre et tu me reverras plus. " C'était dur de dire ça surtout que je ne savais pas si je y parviendrais, tiré un trait sur elle a jamais me paraissait totalement impossible, voyant qu'elle était plus calme j'attrapais la chaise qui resté dans le coin de ma chambre, je mis le dossier fasse a Aria, de façon a m’asseoir a califourchon pour pouvoir posé mes bras sur le dossier de la chaise. Maintenant que j'étais en face d'elle fallait bien que je trouve quelque chose a lui dire, mais quoi ? Si on revenait trop sur le sujet c'était la dispute assurée. La regardant je lui dis calmement : " Comment on a pu en arrivé la Aria ? Je veux dire je sais même pas se que tu me reprochais ce fameux soir j'ai absolument rien compris et pourtant je te jure que j'avais absolument rien fait, alors comprend moi quand on se prend une gifle pour rien y a de quoi se remettre en question. Maintenant j'aimerais qu'on mette les chose au clair si tu veux bien."

J'étais loin de me douter qu'elle ne pouvait rien me dire a ce sujet, mais je voulais pourtant connaitre la cause de tout ça, si je devais la perdre a jamais je voulais savoir pourquoi pour ne pas avoir a me posé la question jusqu'à la fin de mes jours.

Aria & Roméo
retourne bosser que je ramasse mes affaires en paix!

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FLASHBACK - deux semaines plus tôt

«Bonsoir Aria!» Entendais-je en arrivant dans mon salon un soir en revenant du boulot. C'était encore cette voix qui me donnait à chaque fois des frissons de peur tout le long de ma colonne vertébrale. Je prenais une profonde respiration pour reprendre le dessus, un truc que mon thérapeute me donnait depuis quelques semaines déjà. «Sortez de chez moi et ne revenez plus jamais...» M'exclamais-je en essayant de garder le plus possible mon calme alors que je tournais les talons en direction de la cuisine. J'attrapais le téléphone sans fil qui était posé sur le comptoir, mais une main me le prenait brusquement. «Oh, parce que tu as décidé de me tenir tête! Tu sais, ma belle, ce n'est pas une très bonne idée.» J'avalais ma salive et regrettais rapidement d'avoir oser prononcer ses paroles. Ce que mon thérapeute m'avait dit en ce qui était d'affronter mes peurs en face ne semblait pas être applicable dans se genre de situation. «je vous en prit... laissez-moi tranquille!» Le suppliais-je en le regardant le regard triste. Mais visiblement, cet homme n'avait aucun cœur, car il me tirait hors de la cuisine jusqu'à ma chambre pour me jeter contre le lit. «Je me demandes si tu seras aussi délicieuse qu'avant...» M'avait-il dit en déchirant mes vêtements et en venant prendre place au dessus de moi. Je me débattais de toutes mes forces, mais chaque fois que je réussissais à presque me sauver, il me tirait à nouveau contre lui. Puis, vous aurez deviner que ce fut une relation sexuelle forcé ou j'avais réussi à lui griffer le visage avec mes ongles. Bref, un moment que j'aurais bien voulu éviter... Puis il s'était habillé en me disant qu'il me reverrait prochainement...

FIN DU FLASHBACK

«Non, t'avais rien fait Roméo... et je suis vraiment désolée pour ce geste. J'avais eue une très mauvaise journée et j'étais au niveau impatience totale... Mais rien ne peut excuser ce que je t'aies fait. C'était pas sur toi que j'aurais due passer toute cette colère.» Répondais-je en détournant ensuite mon regard vers la porte qui donnait dans le vite de mes pensées. Que pouvais-je dire d'autre que ses paroles sans qu'il ne pose trop de questions ? Je n'avais rien trouvé de mieux que cette raison simple et un peu stupide, surtout que ce n'était pas dans mes habitude de rapporter mes problème de boulot ou autre à la maison quand j'étais avec Roméo. C'était donc assuré qu'il n'allait pas me croire, mais ça valait la peine d'essayer. «tu sais... et je crois que je ne m'excuserais jamais assez.» Ajoutais-je en regardant mes pieds me sentant soudainement tr;es faible et en me raidissant dès que celui-ci bougeait pour moindrement s'approcher de moi. J'avais acquis certains mauvais réflexe depuis la nuit ou j'avais une nouvelle fois été violé et ce même si je faisais en sorte de ne laisser paraître aucune faiblesse. Puis je reposais enfin mon regard dans celui de Roméo et je lâchais un soupir. Mais pas un de découragement, plutôt un d'une fille heureuse d'être en face de lui et non face à un autre homme...

Je connaissais bien Aria pour savoir que ça ne serait pas facile de savoir ce qu'il y a ou même ce qui c'était passer ce soir là, j'aurais tellement voulut que cette soirée n'est jamais eut lieu, on en a connut des disputes même que les autres nous disent qu'on seraient peu être mieux chacun de notre côté mais c'est ce qui fait le charme de notre couple du moins ce qui faisais le charme de notre couple, au moins on ne s'ennuyer jamais et les réconciliations était très agréable. Je me demande toujours ce qui se serait passer si je n'avais pas arrêté notre relation ce fameux soir ? Malheureusement j'ai bien trop de fierté pour laisser une femme me soumettre oui car je vois ce geste comme une soumission et elle n'est pas encore née la femme qui réussira a me mettre a genou. J’essayais de discuter avec elle seulement chacun de ces réponses enfoncé un peu plus profond le couteau dans la plaie, elle me fit même remarqué que c'était moi qui avait arrêter leur relation. Oui et ? si la situation avait été inverse je pense qu'elle aurait fait la même chose, seulement j'ai jamais levé la main sur une femme même quand je suis en colère alors ca aurait pas commencé se soir la. J'étais assit non loin d'elle et je voyais bien qu'elle était perturbé et qu'elle se sentait coupable, mais de quoi ? Je voulais savoir je voulais l'aider j'aider la pour ça en même temps a quoi je sers sinon ? Je lui proposais de mettre les choses au clair pour qu'on puisse avisé ensuite.

« Non, t'avais rien fait Roméo... et je suis vraiment désolée pour ce geste. J'avais eue une très mauvaise journée et j'étais au niveau impatience totale... Mais rien ne peut excuser ce que je t'aies fait. C'était pas sur toi que j'aurais due passer toute cette colère.» Je restais bouche bée j'avais donc bel et bien rien fait, déjà c'était un point positif seulement pour mettre a bout ma petite Aria il en faut beaucoup et je pensais être le seul a en être capable seulement apparemment non. Qu'est ce qu'il avait bien pu se passer pour qu'elle soit comme ça ? Je lui dis « J'accepte tes excuses, c'est vrai que t'aurais pu te défouler sur quelqu'un d'autre mais c'est aussi a ça que ça sert un copain nan ? » Je lui fit un petit sourire je voulais détendre l'atmosphère elle reprit en disant qu'elle ne s'excuserait jamais assez. Je venais de prendre conscience de quelques chose, a chaque fois que je bougeais le moindre petit doigt elle réagissait, elle avait peur ? J'ai jamais été violent avec elle pourquoi elle réagit comme ça ? Je lui dis : « Je viens de te dire que pour moi c'était oublié » Pouvoir la regardait dans les yeux me fit un bien fou son regard me manquait énormément, le soupir qu'elle lâcha me fit un peu sourire. Je m'avançais alors d'un coup vers elle pour la prendre dans mes bras seulement sa réaction me laissa de glace, elle c'était brutalement reculé et levait c'est alors que vint une hypothèse dans mon petit cerveau. Me levant doucement je me dressais devant elle en faisant attention a mes gestes je lui dis : « Qu'est ce qui passe Aria ? Je te fais peur ? »

Je la regardait inquiet elle était vraiment pas bien et j'étais tiraillé de l’intérieur, avançant d'un pas vers elle je lui demandais spontanément : « Quelqu'un s'en est prit a toi ? Quelqu'un t'as fait du mal ? » Je dois dire que cette idée me mettait hors de moi, j'étais prêt a tuer pour elle peu importe si j'allais en prison ensuite personne n'avait le droit de lui faire du mal. Doucement je pris sa main dans la mienne et fis de même avec la deuxième, entrelaçant mes doigts avec les siens je lui dis droit dans les yeux : « Tu peux tout me dire je suis la pour t'aider. »