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 no woman, no cry.

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A. Joyce Woodsen
A. Joyce Woodsen

❥ MESSAGES : 528
❥ EMPLOI/ETUDES : Professeur en école maternelle.


HAPPINESS TO LOVE YOU
❥ Activité: Présent(e)
❥ Age: Vingt quatre ans.
INMYHEART:

no woman, no cry. Vide
MessageSujet: no woman, no cry.   no woman, no cry. EmptyMer 27 Juil - 17:26


no woman, no cry. Tumblr_lpxif6HI0t1qf6z2co1_500
❥ ALEXIS JOYCE WOODSEN
ft. candice accola
.
alexis(ALEX), 24ans, 19 février 1987, américaine, célibataire/compliqué, hétérosexuel.
Alex est une jeune femme qui ne suit pas sa mode, mais sa propre mode. Elle n'a pas de style en particulier, mais s'habille à sa manière. Ce qui fait d'elle une personne originale. Elle met toujours en évidence ses long cheveux châtains un jour ou bien blond un autre. Elle joue avec eux, les ondulants ou les lissant à sa guise. Une jeune femme plutôt grande, à près d'un mètre soixante-quinze, de taille mince, elle est un peu complexé par son poids se trouvant trop maigre, mais c'est héréditaire puisque sa mère était comme ça elle aussi. Elle avait beau manger des tonnes, elle ne grossissait pas pour autant.

Elle vit avec son passé en permanence, comme un traqueur, il la suit. Jamais elle ne se laisse marcher sur les pieds mais préfère laisser couler pour ne pas se prendre la tête. Elle n'est pas du genre lunatique, mais presque. Oui Alex à un caractère assez particulier, mais étant toujours souriante, et attachante elle reste quelqu'un que l'on sait apprécier. Toujours là pour les uns et les autres, elle a tendance à s'occuper sans hésiter de son prochain, ce qui fait aussi partit de son travaille en tant que maîtresse d'école. Elle sait être patiente, et s'occupe de son temps libre à jouer de la guitare, ou bien à laisser faire de son appartement un véritable squatte.

Sa mère étant décédé quand elle avait onze ans, Alexis n'arrive pas à combler se manque malgré que ses parents adoptifs soient là pour elle et cela depuis qu'elle est née. Elle est très liée avec eux, mais plus avec leur fille, Robyn. Qui était, elle, sa meilleure amie quand elle était une enfant. Aujourd'hui elle la considère tel une sœur dans son cœur, et passe beaucoup de son temps avec elle. Elle est sa bonne étoile, celle qui la guide quand elle doit faire des choix tels qu'ils soient. Elle a aussi une sœur jumelle qui a tout vécu avec elle. Elles sont très proche, mais malheureusement le temps les sépare étant donner la complicité qu'a Alex envers Robyn, Heaven en est beaucoup trop jalouse pour en être supportable, ce qui les éloigne un petit plus chaque jours.


..oh baby i love your way..
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« No woman, no cry.. » chantait Elisabeth appelé plus ouvertement, Beth. Elle chantait Bob Marley parce qu’à ses yeux, il était un dieu, le roi de la paix, celui qui nous ouvrait clairement les yeux, celui qui légalisait le joint rien qu’en une mélodie. Elle chantait, no woman no cry, à chaque fois que sa fille se mettait à pleurer. Elle la prenait dans ses bras en la berçant doucement. L’odeur de l’ansant dans les narines, elle la relaxait, et lui apprenait dès sa naissance à rester calme, en de bonne circonstance. Non, elle ne voulait pas s’énerver, à quoi bon ? Cela ne résout rien. Elle préférait agir comme on le lui avait apprit.

« aout, 1992. Street of Miami. »
Il l’avait frappé, il l’avait frappé parce qu’il avait trop bus. Elle avait toujours été contre l’alcool, surtout vis-à-vis de la réaction que Gabriel avait, il réagissait mal face à l’alcool. Après avoir atteint le taux d’alcool surélevé, il devenait violent. Elle n’aurait jamais crus faire ça un jour, mais pourtant, elle l’a fait. Et cela a surement été la meilleure décision depuis ses six dernières années. Il l’avait toujours frappé, mais cette fois ça avait été beaucoup plus grave, c’est pourquoi elle est partie sans rien, hors mi ses enfants, son trésor, celles qui lui redonnaient goût à la vie, celles pour qui elle vivait encore. Malheureusement, elle ne vivrait de rien, c’est pourquoi elle est allée chez sa meilleure amie durant quelques temps emportant ses jumelles avec elle.

« Juillet, 1998. Veronica’s house »
« Promets-moi de toujours veillé sur elles. », la meilleure amie de Beth, Veronica, la regardait les larmes aux yeux, et se retenait de toute ses forces pour ne pas pleurer. Elle se mordait les lèvres, avant de finir par fermer la porte de l’ambulance. « Promis. » elle prit sa main à travers la fenêtre qui était ouverte pour l’embrasser, puis se mit à trembler et rangea ses mains en les croisant sous sa poitrine. Elle la regardait s’en aller, pendant que Joyce jouait avec sa fille Robyn ainsi que sa soeur jumelle Heaven. Le soir, elle avait cuisiné pour dix. Les trois petites filles arrivèrent pour dîner, seulement Joyce tournait sa fourchette dans son assiette, ressentant le manque de la présence de sa mère. Le besoin de la voir, de l’embrasser, de se blottir dans ses bras. « Est-ce qu’elle va revenir.. ? », Veronica voulait éviter le sujet, mais elle posa sa main sur celle de la petite blonde dont la mine lui donnait envie de pleurer. « Tu la reverras ta maman, et elle sera toujours là », elle pose une main sur sa poitrine « dans ton cœur. ».

« Septembre, 2004. Hight scool. »
L’herbe était verte, tellement verte, qu’elle en attirait Joyce. Elle s’y installa en tailleur, et posa son sac sur le coté. Quelques amis suivirent, et déjà à cette âge là, Joyce savait ce qu’était un joint. Elle y avait déjà goûter. Elle savait faire la différence entre de la weed et du shit, entre la haute qualité et de la basse. Elle savait à qui il fallait qu’elle se réfère. Et pourtant, elle n’avait que quinze ans. Mais quand elle a sut que sa mère l’avait quitté, elle a finit par décider de vivre, comme sa mère lui avait toujours dit. « Tu sais ma fille, tant que tu n’auras pas profiter de la vie à fond, tu ne sauras jamais ce que c’est de vivre. ».

« Juillet, 2011. Agency of mannequinat. »
Elle a finit ses études. Elle a mené sa vie comme elle aurait toujours dû le faire, et c’est « no woman, no cry » qui hante sa tête à chaque fois qu’elle a un coup de blouse. Ecouter cette chanson, lui rappelle sa mère, lui rappelle son passé, son enfance, et tout ce qu’elle a tant aimer. Elle sait ce qu’elle représente entre elles trois. Elle était, petite, celle qu’elle est aujourd’hui, mais beaucoup trop renfermé pour être enfin celle qu’elle était vraiment. Elle fume, pour se détendre. Elle sait que son loft est un squate, rentre qui veut y rentrer, elle n’y voit aucun inconvénient, tout ses amis y sont le bienvenue. Elle ne se prend pas la tête, et cherche à vivre la vie à fond, rendre sa mère heureuse, tout là haut.

« Et l'amour fut ...»
Quand Alex est arrivée au lycée, elle ne pensait pas croisé se regard. Celui qui allait percé son cœur, celui qui allait lui prendre, et l’envoyer là où elle n’avait encore jamais été. Alex était déjà une jeune femme déterminée, et qui savait ce qu’elle faisait. Tout était toujours calculer, malgré qu’elle soit une jeune femme qui n’aime pas se prendre la tête elle aimait que les choses aille dans un certain sens, et pas dans un autre. Quand Alex et Shane on commencé à sortir ensemble, tout allait à merveille. Elle était heureuse, encore plus qu’elle ne l’était déjà plus ou moins. Car oui, c’est une jeune femme très souriante et qui nous donne la joie de vivre. Seulement toute belle histoire à une fin. Alexis a subit ce que sa mère elle-même subit. Shane ne contrôlant pas sa force et sa colère a commencé à la frapper. La première fois qu’il a osé levé la main sur elle, Alex a prit peur. Elle se pensait plus forte que ça… et pourtant, elle ne l’était pas assez pour en parler au tour d’elle. C’est au bout d’un ans et demi qu’elle prit son courage à deux mains pour en parler à sa meilleure amie, Robyn ainsi qu’à sa sœur jumelle Heaven. Robyn fit tout ce qu’elle peut pour lui faire comprendre qu’il faut qu’elle le quitte. Plus facile à dire qu’à faire, car pour Alex c’était dur. Elle l’aimait malgré tout, parce qu’elle savait qu’il n’était pas de se genre, et qu’au fond il l’aimait plus que quiconque. Mais deux mois on suivit, et leur histoire à prit fin. Quatre mois plus tard après avoir sombré dans le désespoir, Shane a été arrêté parce qu’il a grièvement blessé un homme. Il prit donc une peine de 7ans. De son coté, la jeune femme essayait comme elle pouvait de refaire sa vie, après tant d’amour. Tant de peur. Puis avec sa maladie, elle ne pouvait malheureusement pas toujours tenir le coup. Car oui, il y a quelques temps de cela, Alexis a découvert qu’un de ses poumons ne fonctionnait plus. C’est pourquoi elle a été à l’hôpital durant plusieurs mois, mais aucun poumons n’a été reçu pour la greffe. Elle reste donc à présent très fragile, et c’est grâce à Morgan , un patient qui était déjà dans sa chambre à son arrivé, blessé à la jambe à cause d’un accident de moto, qu’elle retrouva doucement le sourire. Elle se sent bien en sa compagnie, bien qu’au départ elle avait du mal à le cerné. Il lui fait retrouver le sourire, et elle se sent très en sécurité quand elle est avec lui.


BEHIND THE SCREEN

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Si vous voulez en connaitre plus sur moi, il vous suffira d'aller voir les descriptions du staff =).

COMMENT AS-TU CONNUS LE FORUM ? haha, c'est un secret (a).
QUEL EST TON NIVEAU DE RP (environs) ? 30lignes minimums.
AS-TU QUELQUE CHOSE A AJOUTE ? je vous aimes déjà.
QUEL EST LE CODE DU REGLEMENT ? ? Yoo, t'as crus que j'allais te le dire ? T'as rêver =).

EXEMPLE DE RP.
« Max… sors de cette salle de bain ! » je ne me préoccupait pas de ce qu’avait beau hurler Allie depuis environs trente minutes, puisque j’avais affaire. Je m’amusais à jouer les sourdes oreilles, pour ne pas trop me faire disputer, et puis c’était totalement mon style de faire ça, puis est arrivée à un moment où je l’entendais taper du pieds. Je pris ma robe, l’enfilais avant d’ouvrir la porte et qu’elle ne manque de tomber étant donner qu’elle était en appuie sur celle-ci et qu’elle ne s’attendait absolument pas que je sorte dès maintenant. Elle se redressa en ronchonnant. « désolée, mais ce soir je sors, alors on va pas m’en vouloir. Tu fais quoi toi ce soir, tu regardes le grunch ? Hmm ? Alors laisses moi NOTRE salle de bain quand tu sais ce que je fais. T’es moche. ». Je marche jusque dans ma chambre et m’admire très vite dans le miroir jusqu’à ce que Liam apparaisse lui aussi à travers le miroir. Je me retourne pour le regarder et lui acquiesce un jolie sourire. Il secoue la tête se demandant où je vais, et ayant une idée derrière la tête puis croise les bras. « Je peu savoir où ma petite sœur va comme ça ? », je cherche mes clefs, le laissant entrer. Je soulève les poufs qui traînent partout dans ma chambre, puis regarde en dessous chaque coussin qu’il y a sur mon lit, et au moment où je relève la tête, elle pende juste au-dessus de moi, je regarde Liam et lui prends. « Merci ! » je lui colle un énorme bisou sur la joue, et regarde si je n’ai rien oublier. Je le vois me faire un signe avec sa main pour que je sorte de mes nuages, et sursaute légèrement « hmm .. ? » , « tu vas où ? ». Bon là, il fallait soit que je dise la vérité, et qu’il m’enferme dans ma chambre jusqu’à ce que je me sois décider à ne plus jamais revoir Rylan, soit je lui mentais et c’était griller d’avance, soit je jouais les Maxence un peu ici et là bas, comme toujours. « Je sais pas, j’hésite. J’aimerais pouvoir trouvée une fée, et aller draguer peter pan, mais pas sûr.. J’ai pas encore trouver où elles se cachent, mais promis je t’appelle si j’ai un problème. Des fois que captain crocher m’est kidnapper. » je le vois secouer la tête et je souris amusée. Je dépose un doux baiser sur sa joue droite en sortant de ma chambre.

Après avoir vérifier que tout était dans mon sac, clefs, portable, iPod, je suis directement monté dans ma voiture pour m’envolé jusqu’au restaurant que nous nous étions dit. Arrivée là bas, je sors de ma voiture le sourire aux lèvres, et entre dans celui-ci, me laissant guidé par un maître d’accueil jusqu’à notre table. Je m’installe confortablement, puis me sent un tout petit peu gêner d’être toute seule, et dans un restaurant aussi chic que celui-ci. Il faut le dire, j’aime bien manger avec les mains, boire des bières, fumer à l’occas. Mais bon, il allait arrivé, et c’est tout ce que je voulais. C’Est-ce qui me maintenait encore ici.

Les minutes passèrent, ou du moins presque une heure.. Et toujours personne. J’attendis au total une heure trente avant de comprendre qu’il me faisait faux bons. J’ai pris mon sac, ma veste, et j’ai quitté le restaurant. J’en avais marre que des couples arrivent tout joyeux dans se restau de naz, que les hommes m’envoyaient des verres parce que j’étais seule, et de répondre au serveur « il va arrivé.. » puisqu’il n’est jamais arrivé. Je suis rentré chez moi, d’ailleurs très tôt, et tout le monde m’a demandé ce que je faisais, car eux aussi sortaient. J’ai rien dit, et me suis contentée de leur faire un signe pour leur faire comprendre de me laisser, et je me suis enfermée dans ma chambre, avant de finir par m’attacher les cheveux, d’enlever ma robe pour mettre un marcel blanc, et un slim gris. Je sors enfin de ma chambre quand leur voiture est partie, et sort le pot de glace, pour me collé devant la télé à regarder les dessins animés.

Le temps passe, et la sonnette retentit, je regarde derrière moi et pose la glace sur la table avant d’aller voir à la porte. Ne voyant personne, j’ouvre, puis le voyant lui je referme la porte. Je reste appuyer sur ma porte le temps de l’écouter un peu. « Max je suis vraiment désolé… » , à ses mots je rouvre la porte et le dévisage. Quand j’ai ouvert la porte la première fois, je n’avais même pas eut le temps de voir son visage. « Je sais j’aurais du te prévenir plus tôt, à la place que tu attendes au resto, mais j’ai pas pu faire autrement. » je le regarde, et pose une main sur sa joue n’en croyant pas mes yeux, puis l’enlève. « c’était très con. Je comprends pas. T’imagines même pas comment je me suis senti conne dans se restau. Ca se voyait que les autres prenaient pitié de moi, c’est la première fois que ce genre de truc m’arrive, et .. Je t’en veux. » je le dévisage encore, puis ouvre la porte en grand et va dans le salon le laissant entrer. Je regarde la table de salon, puis va cherché ce qu’il faut pour le soigné.


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no woman, no cry.

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